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merci d’être arrivé jusqu’ici
yoan vous offre son
coeur

© amourhaineuse par yoandesousa 2024


yoan de sousa
se perd dans un monde
où l’amour est haineuse et où
les hommes sont amoureuses.
il ne sait s’exprimer
que par l’écrit, la langue n’étant
qu’une frontière infinie
dans le temps.

yoan se promène dans ce monde
où amour et haine ne font qu’un,
en analysant chaque étape
de sa vie.



la vie nous anime
vers nos souvenirs d’animaux
.
le détail du coeur qui bat
face aux pétales de fleurs lilas
,
symbolise laVITALITÉ
qui dans nos yeux doucement se noie
.


fleur la vie l’inspire et l’intrigue,
vivre puis mourir avec le sentiment
d’être le dernier, comme une fleur
seule dans un champ noyé
sous le chagrin du ciel.



arbre mourir pour renaître grâce
à la mère pourtant sur terre qu’est
la nature et ses arbres source de vie.



freedom dans ce monde haine
et amour se déchirent,
yoan et sa fleur de peau se mélangent
pour devenir libres d’être uniques.



tout va bien la joie le perd certaines fois
dans la douleur du paradoxe,
sourire sous la pluie pourpre
de la vision spirituelle.
TOUT VA BIEN ?
yoan retourne chaque aspect
de cette question dans sa tête,
puis son visage l’arrête
sans connaître la réponse
la plus suspecte.


opium l’addiction au détail l’étouffe,
mais sans air tout lui paraît plus simple,
la vue réduit le champ des possibles
et la couleur devient plus instinctive.
un stade fixe, les joueurs
de ses pensées quittent le je,
yoan rêve un peu, s’enfuit,
pour trouver l’idéal personnel,
le eux qui devient le lui.



attrape-moi la chaleur unique de son corps
n’attendrit que ses yeux ternes
au fond du couloir.
la lumière qui brille à l’autre extrémité,
est celle du feu dans lequel il doit se jeter
pour en ressortir vivant.
son passé court dans son ombre
les bras tendus vers la trachée,
mais affaibli par les monts,
les flammes empêchent de l’attraper.



la vie est belle yoan tourne en rond
certaines fois,
sans que la boucle ne se ferme jamais.
le corps sous l’eau, sa bouche absorbe
les dernières vapeurs présentes dans l’air.
dans l’herbe la pluie s’évapore,
jusqu’à ce que le tonnerre
gronde à nouveau
dans son cerveau électrique.



fenêtre sur cour les passants pleurent,
leurs larmes coulent le long du passé.
malgré les rayons transperçants,
yoan s’endort,
le souvenir des paupières le berçant,
sous le reflet de la rue
encore humide de la veille.
l’écoute sans le fier
pour tonnerre secousse,
écourté par bruit ferme
de cette fenêtre sur cour.



la pluie passe mais le temps s’amuse
air pur - dans ses poumons face à sa muse

CULTURE - sans laquelle la couleur
de son coeur ne serait que colère
.


multicolère lorsque la colère le guide,
de couleurs il se vide,
jusqu’à ce que les émotions s’entremêlent
et que la détonation éclate.
une explosion marque un être,
être expressif et figurer
une envie nostalgique
est nécessaire aux soins des plaies
de notre âme.



nuits sonores admirer sans comprendre,
ne pas comprendre pour surprendre,
après analyse comme jour d’anniversaire,
surprise. yoan veut garder
une part de mystère,
seul moyen de conserver l’amour.



vibes & vinyls l’art c’est de l’amour,
de l’émotion; l’art c’est partager,
partager pour échanger des idées,
des idées pour avancer
vers un avenir idéalement conçu.



francis bacon le monde est triste et soupire,
yoan a besoin de l’art
pour lui rendre son sourire,
l’art c’est un tout, tout dépend du chemin qui nous guide.



le septième continent


depuis longtemps l’amour grandit,
donc naturelle devient sa destruction.

la direction est incorrecte,
mais le cri du groupe l’entoure,
le oui du non recrée la terre
qui nous ressemble
et le oui c’est pour toujours.
+
des frissons dans la forêt,
mais le cri du groupe l’entoure,
le plus le moins sont dans sa tête
en fin de cendre
et la vie brûle en dessous.

depuis longtemps la destruction grandit,
donc naturel devient son amour.



passage secret il sourit quand la douleur
coule au coin de sa bouche
et quand sa chair rougit,
l’île soumise à la rancoeur
douce au fond de sa cour
est grande face aux fous rires.
le reflet du soleil
dans les marques de son passage,
atténue l’iridescence de ses émotions;
il renaît dans sommeil,
sans regard, dessin plus fiable
de ses nues dirigées
vers pièces de collection.



les rayons s’atténuent
et son amour s’adoucie
,

il se sent à l’aise
dans l’allée de sa vie
.
cette sensation le fige
,
puis quand dans le miroir
passe enfin leSOURIRE
,

il prend le temps
d’admirer tout son pire
.


sorry+late la lueur des rayons
traverse les nuages,
mais quand ces derniers
sont les seuls à le fasciner
puis à façonner, son matin si précieux
dessinant chacune de ses actions,
il ralentit son pouls et admire le spectacle,
aucune fraction ne déforme ses joues.



la cour de jeux yoan préfère l’enfant qu’il est devenu à l’adulte qu’on lui a imposé.
la simplicité des lèvres constamment liée
à la sensibilité du regard,
permettant une création si singulière,
chaque trait devient émotion
soudaine et intemporelle.
si fier, yoan est si fier
d’être enfin devenu jeune.



la petite fleur la petite fleur fait plaisir,
je dis merci face au sourire
qui se dessine entre tes veines,
l’averse n’est jamais bien loin
mais masque tombe, sans maquillage.
sous les nuages,
seule ma bonté crée la lumière
qui vers les cieux m’élève.
la petite fleur fait plaisir
comme une trace de rouge à lèvres.



je suis le meilleur yoan se perd dans sa propre définition. est-il ce que le i est à la grèce, attaché à ses origines,
ou bien se sent-il vide comme l'o,
a.bsent comme I'r avec une fin de n ?
« les pétales tombent de mes fleurs,
mais c’est sûr je suis le meilleur ».



magnifique un bouquet de roses
qui fane au fil des jours,
après la pluie, le vent, la cour,
les nuages s’éloignent
et les pétales deviennent éclaircies.
mais même au sol, les mémos sales
rappellent de beaux souvenirs,
la fin se fige.
enfin se vide de larmes son corps en tige,
au naturel sous la lumière,
son corps est fixe.
yoan sourit, cette fleur est magnifique.



+ yoan a découvert la passion
d’aimer, d’haïr et est amoureuse
de l’art de vivre.





yoan de sousa
se perd dans un monde
où l’amour est haineuse et où
les hommes sont amoureuses.
il ne sait s’exprimer
que par l’écrit, la langue n’étant
qu’une frontière infinie
dans le temps.

yoan se promène dans ce monde
où amour et haine ne font qu’un,
en analysant chaque étape
de sa vie.



la vie nous anime
vers nos souvenirs d’animaux
.
le détail du coeur qui bat
face aux pétales de fleurs lilas
,
symbolise laVITALITÉ 
qui dans nos yeux doucement se noie
.


fleur la vie l’inspire et l’intrigue, vivre
puis mourir avec le sentiment
d’être le dernier, comme une fleur
seule dans un champ noyé
sous le chagrin du ciel.



arbre mourir pour renaître grâce
à la mère pourtant sur terre qu’est
la nature et ses arbres source de vie.



freedom dans ce monde haine
et amour se déchirent,
yoan et sa fleur de peau se mélangent
pour devenir libres d’être uniques.



tout va bien la joie le perd certaines fois
dans la douleur du paradoxe,
sourire sous la pluie pourpre
de la vision spirituelle.
TOUT VA BIEN ?
yoan retourne chaque aspect
de cette question dans sa tête,
puis son visage l’arrête
sans connaître la réponse
la plus suspecte.


opium l’addiction au détail l’étouffe,
mais sans air tout lui paraît plus simple,
la vue réduit le champ des possibles
et la couleur devient plus instinctive.
un stade fixe, les joueurs
de ses pensées quittent le je,
yoan rêve un peu, s’enfuit,
pour trouver l’idéal personnel,
le eux qui devient le lui.



attrape-moi la chaleur unique de son corps
n’attendrit que ses yeux ternes au fond du couloir.
la lumière qui brille à l’autre extrémité,
est celle du feu dans lequel il doit se jeter
pour en ressortir vivant.
son passé court dans son ombre
les bras tendus vers la trachée,
mais affaibli par les monts,
les flammes empêchent de l’attraper.



la vie est belle yoan tourne en rond certaines fois,
sans que la boucle ne se ferme jamais.
le corps sous l’eau, sa bouche absorbe
les dernières vapeurs présentes dans l’air.
dans l’herbe la pluie s’évapore,
jusqu’à ce que le tonnerre gronde à nouveau
dans son cerveau électrique.



fenêtre sur cour les passants pleurent,
leurs larmes coulent le long du passé.
malgré les rayons transperçants,
yoan s’endort, le souvenir des paupières le berçant,
sous le reflet de la rue encore humide de la veille.
l’écoute sans le fier
pour tonnerre secousse,
écourté par bruit ferme
de cette fenêtre sur cour.



la pluie passe mais le temps s’amuse
air pur - dans ses poumons face à sa muse

CULTURE - sans laquelle la couleur
de son coeur ne serait que colère
.


multicolère lorsque la colère le guide,
de couleurs il se vide,
jusqu’à ce que les émotions s’entremêlent
et que la détonation éclate.
une explosion marque un être,
être expressif et figurer une envie nostalgique
est nécessaire aux soins des plaies de notre âme.



nuits sonores admirer sans comprendre,
ne pas comprendre pour surprendre,
après analyse comme jour d’anniversaire,
surprise. yoan veut garder
une part de mystère,
seul moyen de conserver l’amour.



vibes & vinyls l’art c’est de l’amour, de l’émotion;
l’art c’est partager, partager pour échanger des idées,
des idées pour avancer vers un avenir idéalement conçu.



francis bacon le monde est triste et soupire,
yoan a besoin de l’art pour lui rendre son sourire,
l’art c’est un tout, tout dépend du chemin qui nous guide.



le septième continent 
depuis longtemps l’amour grandit,
donc naturelle devient sa destruction.

la direction est incorrecte,
mais le cri du groupe l’entoure,
le oui du non recrée la terre
qui nous ressemble
et le oui c’est pour toujours.
+
des frissons dans la forêt,
mais le cri du groupe l’entoure,
le plus le moins sont dans sa tête
en fin de cendre
et la vie brûle en dessous.

depuis longtemps la destruction grandit,
donc naturel devient son amour.



passage secret il sourit quand la douleur
coule au coin de sa bouche
et quand sa chair rougit,
l’île soumise à la rancoeur
douce au fond de sa cour
est grande face aux fous rires.
le reflet du soleil
dans les marques de son passage,
atténue l’iridescence de ses émotions;
il renaît dans sommeil,
sans regard, dessin plus fiable
de ses nues dirigées
vers pièces de collection.



les rayons s’atténuent
et son amour s’adoucie
,

il se sent à l’aise
dans l’allée de sa vie
.
cette sensation le fige
,
puis quand dans le miroir
passe enfin leSOURIRE
,

il prend le temps
d’admirer tout son pire
.


sorry+late la lueur des rayons traverse les nuages,
mais quand ces derniers sont les seuls à le fasciner
puis à façonner, son matin si précieux
dessinant chacune de ses actions,
il ralentit son pouls et admire le spectacle,
aucune fraction ne déforme ses joues.



la cour de jeux yoan préfère l’enfant qu’il est devenu
à l’adulte qu’on lui a imposé. 
la simplicité des lèvres constamment liée
à la sensibilité du regard,
permettant une création si singulière,
chaque trait devient émotion soudaine et intemporelle.
si fier, yoan est si fier d’être enfin devenu jeune.



la petite fleur la petite fleur fait plaisir,
je dis merci face au sourire
qui se dessine entre tes veines,
l’averse n’est jamais bien loin
mais masque tombe, sans maquillage.
sous les nuages, seule ma bonté crée la lumière
qui vers les cieux m’élève.
la petite fleur fait plaisir
comme une trace de rouge à lèvres.



je suis le meilleur yoan se perd dans sa propre définition.
est-il ce que le i est à la grèce, attaché à ses origines,
ou bien se sent-il vide comme l'o,
a.bsent comme I'r avec une fin de n ?
« les pétales tombent de mes fleurs,
mais c’est sûr je suis le meilleur ».



magnifique un bouquet de roses qui fane au fil des jours,
après la pluie, le vent, la cour,
les nuages s’éloignent
et les pétales deviennent éclaircies.
mais même au sol, les mémos sales
rappellent de beaux souvenirs, la fin se fige.
enfin se vide de larmes son corps en tige,
au naturel sous la lumière, son corps est fixe.
yoan sourit, cette fleur est magnifique.



+ yoan a découvert la passion
d’aimer, d’haïr et est amoureuse
de l’art de vivre.